Au fil de la séance, Camille se sentit transportée dans une catégorie d’état exécutant entre l’éveil et le repos. Les reproductions du jardin revinrent, mais cette fois, elles étaient plus nettes. Elle visualisa des arbres extraordinaires, florale à l'apparence éclatantes, et un petit portail en fer forgé recouvert de vigne. La abstraction se termina sur une empreinte apaisante, et Camille ressentit un tranquilité qu’elle n’avait pas fait l'expérience pendant des mois. Pourtant, une question restait : prétexte ce jardin lui apparaissait-il de manière si insistante ? L’exploration perçante Les évènements suivants, Camille revint sur un site AD-Voyance, cette fois pour une divination à distance. Les médecins, maîtres dans l’art d’interpréter les désirs et les idéogrammes, l’aidèrent à bien creuser plus tendrement dans cette image récurrente. À travers des tirages de carte bleues et des analyses intuitives, ils révélèrent que ce jardin pouvait être une tableau d’un souvenir enfoui ou d’un engouement non amené. L’image du portail, notamment, était significative : il symbolisait une opportunité ou un passage qu’elle n’avait toujours pas osé franchir. Les séances suivantes l’encouragèrent à découvrir ses propres émotions et biographies. Elle se remémora les étés de son enfance, révolus dans une maison de campagne appartenant à ses grands-parents. Un détail enfoui depuis très longtemps refit surface : le jardin religieux après la maison, entouré d’un mur de pierre et accessible par une révolue porte en fer forgé. Ce cote, autrefois son refuge, avait vécu oublié dans le tumulte de sa carrière grandi.
Le voyage mesure les anciennes époques Poussée par cette découverte, Camille décida de revisiter la foyers de ses grands-parents, dès l'abord inhabitée sur leur décès. Elle ressentit une étrange sollicitation mêlée de nervosité en accostant du portail rouillé. Le jardin était nettement là, malgré le fait que laissé à l’abandon. Les fleurs qui dans les temps anciens bordaient les chemins avaient duré remplacées par des plantes folles, et les arbres semblaient plus sombres, plus imposants. Pourtant, au cœur de cette acidité, Camille retrouva une impression de détente. En arpatant encore plus, elle tomba sur une petite boîte AD voyance en mission qu’elle avait enterrée lorsqu’elle était enfant. À l’intérieur, elle trouva des articles accessibles mais chargés de chroniques : une photo familiale, un gravure d’enfant, et une lettre qu’elle s’était écrite à bien elle-même, des Âges au préalable. Dans cette lettre, elle se rappelait de extrêmement continuer ses projets, même lorsqu’ils semblaient hors d’atteinte. Ce moment a été une donnée pour Camille. Elle comprit que ses désirs du jardin n’étaient pas seulement une réminiscence de son enfance, mais une invitation à bien retrouver une fraction d’elle-même qu’elle avait perdue. Ce qu’elle désirait n’était pas dans son poste de travail ou dans une endurance matérielle, mais dans la simplicité et l’authenticité de ces histoires.